| | ECS-21 (Statute)Written application ECJ (Statute) | Article 21 | A case shall be brought before the Court by a written application addressed to the Registrar. The application shall contain the applicant's name and permanent address and the description of the signatory, the name of the party or names of the parties against whom the application is made, the subject-matter of the dispute, the form of order sought and a brief statement of the pleas in law on which the application is based. The application shall be accompanied, where appropriate, by the measure the annulment of which is sought or, in the circumstances referred to in Article 232 of the EC Treaty and Article 148 of the EAEC Treaty, by documentary evidence of the date on which an institution was, in accordance with those Articles, requested to act. If the documents are not submitted with the application, the Registrar shall ask the party concerned to produce them within a reasonable period, but in that event the rights of the party shall not lapse even if such documents are produced after the time-limit for bringing proceedings. |
Case | Pte | Ref | Text | C-163/07-PA Diy-Mar Insaat Sanayi | 25-28 | ECS-21 CFIR-44.6 | 25. Neither the provisions relied on by the appellants nor any other provision of the Rules of Procedure of the Court of First Instance and of the Statute of the Court of Justice place any obligation on the Court of First Instance to advise the party lodging an action that his application is inadmissible when it has not been signed by a lawyer authorised to appear before the Community courts. 26. While it is true that the Statute of the Court of Justice and the Rules of Procedure of the Court of First Instance provide for the possibility of rectifying an application which does not comply with certain procedural requirements, it is also true that, on any view of the matter, non-compliance with the mandatory condition of representation by a lawyer authorised to practise before a court of a Member State or of another State which is a party to the EEA Agreement is not one of the requirements which can be rectified after expiry of the time-limit for bringing an action, in accordance with the second paragraph of Article 21 of the Statute of the Court of Justice and Article 44(6) of the Rules of Procedure of the Court of First Instance. 27. Having regard to the foregoing, the Court must hold that, by not inviting the appellants to rectify their application before expiry of the period for bringing the action at the time of receipt on 21 and 23 February 2006 of the first application signed by a lawyer who was not authorised to appear before the Community courts, the Court of First Instance did not commit any breach of procedure. 28. Accordingly, the first ground of appeal must be dismissed as clearly unfounded. | T-395/07-A Dimosthenis Balatsoukas | 9-14 | ECS-21 CFIR-44.1 | 9 En vertu de l’article 21, premier alinéa, du statut de la Cour de justice, applicable à la procédure devant le Tribunal conformément à l’article 53, premier alinéa, du même statut, et de l’article 44, paragraphe 1, sous c) et d), du règlement de procédure, la requête doit, notamment, contenir l’objet du litige, les conclusions et l’exposé sommaire des moyens invoqués. Ces éléments doivent être suffisamment clairs et précis pour permettre à la partie défenderesse de préparer sa défense et au Tribunal de statuer sur le recours, le cas échéant sans autres informations. Afin de garantir la sécurité juridique et une bonne administration de la justice, il est nécessaire, pour qu’un recours soit recevable, que les éléments essentiels de fait et de droit, sur lesquels celui-ci se fonde, ressortent, à tout le moins sommairement, mais d’une façon cohérente et compréhensible, du texte de la requête elle-même (ordonnances du Tribunal du 28 avril 1993, De Hoe/Commission, T-85/92, Rec. p. II-523, point 20, et du 21 mai 1999, Asia Motor France e.a./Commission, T-154/98, Rec. p. II-1703, point 49 ; arrêt du Tribunal du 15 juin 1999, Ismeri Europa/Cour des comptes, T-277/97, Rec. p. II-1825, point 29). 10 Pour satisfaire à ces exigences, une requête visant à la réparation des dommages prétendument causés par une institution communautaire doit contenir les éléments qui permettent d’identifier le comportement que le requérant reproche à l’institution, les raisons pour lesquelles il estime qu’un lien de causalité existe entre le comportement et le préjudice qu’il prétend avoir subi, ainsi que le caractère et l’étendue de ce préjudice. En revanche, une demande tendant à obtenir une indemnité quelconque manque de précision nécessaire et doit par conséquent être considérée comme irrecevable (arrêts de la Cour du 2 décembre 1971, Zuckerfabrik Schöppenstedt/Conseil, 5/71, Rec. p. 975, point 9, et du Tribunal du 10 juillet 1990, Automec/Commission, T-64/89, Rec. p. II-367, point 73, et du 8 juin 2000, Camar et Tico/Commission et Conseil, T-79/96, T-260/97 et T-117/98, Rec. p. II-2193, point 181 ; ordonnance du Tribunal du 5 février 2007, Sinara Handel/Conseil et Commission, T-91/05, Rec. p. II-245, point 87). 11 En l’espèce, par sa demande, le requérant tend à obtenir réparation du préjudice prétendument subi du fait de son exclusion, en tant que soumissionnaire potentiel, d’un nombre d’appels d’offres lancés par le ministère grec du Développement et, dans une mesure incertaine, du fait de l’inaction de la Commission saisie de plusieurs plaintes à ce sujet. Il fait valoir qu’un délai raisonnable se serait écoulé depuis le dépôt des plaintes auprès de la Commission, sans que celle-ci l’informe « au sujet de ses décisions » y relatives, et que le « manque à gagner résultant de son exclusion illégale dépasse les 100 000 euros». En outre, il fait état de la « grave atteinte à son existence professionnelle et humaine » et demande réparation à la Commission, pour le préjudice moral qu’il aurait subi à ce titre. Selon lui, un lien de causalité existerait entre ces préjudices allégués et le fait qu’il aurait été illégalement exclu des avis de marché en cause. Il soutient que le ministère grec du Développement aurait violé de nombreuses dispositions du droit communautaire primaire et que de nombreux règlements communautaires auraient également été violés, sans toutefois préciser l’auteur de ces dernières violations alléguées. 12 Le requérant n’apporte néanmoins aucune preuve pour étayer ses allégations, notamment, sur l’existence des préjudices qu’il aurait subis. Il n’explique pas davantage en quoi un lien de causalité existerait entre un quelconque comportement illégal de la Commission et les préjudices allégués. Au contraire, il fait valoir que le lien de causalité existe entre les préjudices qu’il aurait subis et son exclusion « illégale » des avis de marché en cause. Or, selon le requérant lui-même, ces avis de marché auraient été lancés par le ministère grec du Développement. 13 Dans ces circonstances, il y a lieu de relever que la requête n’identifie pas clairement et de manière non équivoque, cohérente et compréhensible les éléments constitutifs des préjudices allégués ni l’existence d’un lien de causalité entre un quelconque comportement prétendument illégal de la Commission et ces préjudices. Partant, elle ne satisfait pas, à cet égard, aux exigences minimales prévues à l’article 44, paragraphe 1, sous c), du règlement de procédure. 14 Il s’ensuit que le présent recours doit être rejeté comme étant manifestement irrecevable, sans qu’il soit nécessaire de le signifier à la Commission. | T-129/06-A Diy-Mar Insaat Sanayi | 25-33 | ECS-19 ECS-21 | 25 Nach Art. 19 Abs. 3 und 4 der Satzung des Gerichtshofs, der gemäß deren Art. 53 Abs. 1 auf das Verfahren vor dem Gericht anwendbar ist, kann nur ein Anwalt, der berechtigt ist, vor einem Gericht eines Mitgliedstaats oder eines anderen Vertragsstaats des EWR-Abkommens aufzutreten, Prozesshandlungen vor dem Gericht fur andere Parteien als die in Art. 19 Abs. 1 und 2 der Satzung genannten Staaten und die Organe vornehmen. 26 Gemäß Art. 21 Abs. 1 der Satzung des Gerichtshofs, der gemäß deren Art. 53 Abs. 1 auf das Verfahren vor dem Gericht anwendbar ist, muss die Klageschrift u. a. die Stellung des Unterzeichnenden enthalten. 27 Die Klageschrift muss somit von einer Person unterzeichnet sein, die berechtigt ist, den Kläger gemäß Art. 19 der Satzung des Gerichtshofs zu vertreten, wie Art. 43 § 1 Abs. 1 der Verfahrensordnung des Gerichts bestätigt, der verlangt, dass die Urschrift jedes Schriftsatzes vom Bevollmächtigten oder vom Anwalt der Partei unterzeichnet ist. 28 Um die Einhaltung von Art. 19 Abs. 3 und 4 der Satzung des Gerichtshofs zu gewährleisten, muss nach Art. 44 § 3 der Verfahrensordnung des Gerichts der Anwalt, der als Beistand oder Vertreter einer Partei auftritt, bei der Kanzlei eine Bescheinigung hinterlegen, aus der hervorgeht, dass er berechtigt ist, vor einem Gericht eines Mitgliedstaats oder eines anderen Vertragsstaats des EWR-Abkommens aufzutreten. 29 Diese Vorschriften sollen sicherstellen, dass die Verantwortung fur die Vornahme und den Inhalt von Prozesshandlungen von einer Person übernommen wird, die berechtigt ist, derartige Handlungen vor den Gemeinschaftsgerichten vorzunehmen, also bei Vertretung der Organe, der Mitgliedstaaten und der anderen Vertrags staaten des EWR-Abkommens von einem Bevollmächtigten und bei Vertretung der anderen Parteien von einem Anwalt, der berechtigt ist, vor einem Gericht eines Mitgliedstaats oder eines anderen Vertragsstaats des EWRAbkommens aufzutreten, und der den Rechtsvorschriften und den Standesregeln unterliegt, die fur die Ausübung des Anwaltsberufs in diesen Staaten gelten (Beschluss des Gerichts vom 24. Februar 2000, FTA u. a.lRat, T-37/98, Slg. 2000, II-373, Randnm. 20 bis 25). 30 Somit wäre die Klage nur zulässig gewesen, wenn die Urschrift der Klageschrift die handschriftlich vollzogene Unterschrift eines Rechtsanwalts getragen hätte, der von den Klägern beauftragt und nach den oben genannten Verfahrensvorschriften zu ihrer Vertretung vor dem Gericht berechtigt war. 31 Die Unterzeichnung der Klageschrift durch einen Rechtsanwalt, der berechtigt ist, Prozesshandlungen vor dem Gericht vorzunehmen, ist zudem ein wesentliches Formerfordernis, dessen Nichteinhaltung zur Unzulässigkeit der Klage fuhrt; das Fehlen dieser Unterzeichnung gehört auch nicht zu den Formfehlern, die gemäß der Verfahrensordnung des Gerichts noch nach Ablauf der fiir die Klageerhebung vorgeschriebenen Frist behoben werden können (Beschluss FTA u. a./Rat, Randnr. 28). 32 Aus den vorstehenden Erwägungen folgt, dass nur die von Rechtsanwalt Sahin unterzeichnete und am 24. April 2006 bei der Kanzlei des Gerichts eingereichte Fassung der Klageschrift als der Form nach zulässig angesehen werden kann, da nur sie die Erfordernisse gemäß Art. 19 Abs. 3 und 4 und Art. 21 Abs. 1 der Satzung des Gerichtshofs sowie nach Art. 43 § 1 der Verfahrensordnung des Gerichts erfiillt. 33 Daher ist zu prüfen, ob diese Fassung der Klageschrift innerhalb der Klagefrist eingereicht worden ist. | T-332/03 ESN | 229-232 | ECS-21.1 | 229 En ce qui concerne le deuxième chef de conclusions de la requête, le Tribunal rappelle que, aux termes de l’article 21, premier alinéa, du statut de la Cour de justice, applicable à la procédure devant le Tribunal conformément à l’article 53, premier alinéa, du même statut, ainsi qu’aux termes de l’article 44, paragraphe 1, sous c), du règlement de procédure, toute requête doit contenir notamment un exposé sommaire des moyens invoqués. Ces indications doivent être suffisamment claires et précises pour permettre à la partie défenderesse de préparer sa défense ou au Tribunal de statuer sur le recours, le cas échéant, sans autre information à l’appui. Afin de garantir la sécurité juridique et une bonne administration de la justice, il faut, pour qu’un recours soit recevable, que les éléments essentiels de fait et de droit sur lesquels il se fonde ressortent, à tout le moins sommairement, mais d’une façon cohérente et compréhensible, du texte de la requête elle-même (ordonnance du Tribunal du 29 novembre 1993, Koelman/Commission, T-56/92, Rec. p. II-1267, point 21 ; arrêts du Tribunal du 6 mai 1997, Guérin automobiles/Commission, T-195/95, Rec. p. II-679, point 20, et du 25 mai 2004, Distilleria Palma/Commission, T-154/01, Rec. p. II-1493, point 58). 230 De plus, selon l’article 48, paragraphe 2, du règlement de procédure, la production de nouveaux moyens en cours d’instance est interdite à moins que ces moyens ne se fondent sur des éléments de droit et de fait qui se sont révélés pendant la procédure. 231 En faisant valoir qu’elle veut se réserver « tous autres droits, voies, moyens et actions », la requérante indique uniquement qu’elle entend se réserver la possibilité d’exercer d’autres recours. Or, force est de constater que cette formule, qui ne trouve aucune précision dans la requête, ne remplit aucunement les conditions exigées par les dispositions suscitées, ni quant au type de recours ni quant aux éléments requis. En effet, la requérante ne précise aucunement la nature du recours qu’elle compte intenter et n’apporte aucun élément susceptible de fonder ce recours. 232 Partant, le deuxième chef de conclusions de la requête est irrecevable. |
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